Didier Raoult répond aux questions de Ruth Elkrief et Margaux de Frouville.
Le professeur Raoult répond une nouvelle fois aux questions des journalistes sur la crise Covid et son action durant cette période.
Comme à chacune de ses prises de paroles, on est attentif au discours de Didier Raoult, convainquant comme souvent.
Sur la « starification » du docteur et scientifique, il assume en refaisant l’histoire professionnelle de sa vie. Ses titres et son expérience ne peuvent être critiqués aujourd’hui, sous prétexte de la polémique qu’il suscite.
D’autant que, pour Raoult, ne pas faire de vagues lorsqu’on communique revient à dire que ce qu’on annonce n’est pas d’intérêt.
« LANCET »
Sur le rétro-pédalage de « Lancet » et de son étude « foireuse » sur la l’hydroxychloroquine, Raoult explique que le politique a réagit trop vite.
Selon lui, les politiques auraient du prendre le temps de la décision à la suite d’une réflexion. Ce qui n’a pas été le cas puisque le gouvernement a opté pur une réponse directe et rapide.
C’était selon lui une erreur. Il l’avait dit avant et le répète maintenant que la publication a vu le retrait des plus éminents signataires.
JOURNALISTES
C’est Margaux de Frouville qui paie la première le prix de ses interventions.
Didier Raoult, visiblement agacé qu’on lui coupe la parole, demande à la journaliste de se taire et de le laisser parler.
Le professeur recadre aussi Elkrief quand elle laisse entendre qu’elle en connait plus que lui sur son métier.
Mais la journaliste a bien tenu la baraque en réagissant aux écarts du médecin. Ruth Elkrief n’est pas une jeune journaliste. Elle en a vu d’autre.
OREILLETTES
Disons enfin qu’on a largement entendu que les oreillettes des journalistes ont « bien » fonctionné durant l’interview.
Si ça n’a rien d’exceptionnel, cela montre qu’on ne se présente devant Raoult sans un support « technique » et « tactique ».
Didier Raoult répond aux questions de Ruth Elkrief et Margaux de Frouville …