🔻 CHLOROQUINE : ON SE PLANTE …


Selon les américains, l’hydroxychloroquine ne fonctionne pas. Mais il y a un problème d’étude assez clair.


Le journal « Le Point » a notamment repris l’information qui dit que le traitement donne un résultat nul. Mais c’est plus un effet d’annonce qu’une étude réaliste sur base de ce que l’on croit savoir.


Dans « Le Point », on titre ; « Une nouvelle étude américaine est parvenue à la conclusion que le traitement n’a ni amélioré ni détérioré l’état de patients gravement malades ».

Nous sommes obligé de rejoindre Didier Raoult lorsqu’il dit qu’il y a une incompréhension totale avec ce Covid-19.

Comme lui et d’autres l’ont dit mille fois : Le traitement chloroquine fonctionne au début de la contamination. Cette phase passée, et donc avec des symptômes plus graves, l’administration de ce médicament a un effet plus que limité.

Et, malgré tout, des recherches continuent sans prendre en compte cet aspect important du traitement. Une histoire de fous !

INUTILES

Les scientifiques se bornent à faire des recherches qui n’ont pas les bonnes bases prescrites pour aboutir à un résultat négatif que l’on connait déjà.

En faisant cela, ils donnent l’occasion aux titres de presse de livrer une information, certes vrai, mais qui ne colle pas à une réflexion pourtant simple que chacun peut faire.

EMBROUILLER

Pas fan des « théories du complot », nous sommes forcés de dire qu’il y a tout de même un sacré problème.

Des chercheurs veulent absolument détruire tout l’espoir que l’on peut avoir avec la chloroquine, mise en avant depuis longtemps par le docteur Raoult.

« LE POINT »

Le journal commet une grave erreur de compréhension ou de fainéantise. On est pas au sein de la rédaction pour le savoir.

L’article, qui a comme source « l’AFP », ne cite à aucun moment le fait que, pour cette étude, le médicament n’a pas été donné au « bon moment » dans le cycle de la maladie. Hors, c’est le plus important pour que l’effet puisse être bénéfique.

Le pire est que le journal l’écrit dans son titre ; « … le traitement n’a ni amélioré ni détérioré l’état de patients gravement malades … ».

C’est tout le problème. Les patients sont déjà « gravement malades ». C’est donc trop tard.