🔻 MÉDIAS / LES VIOLENTS DE « VALEURS ACTUELLES » ?


Féministes plaquées au sol : Geoffroy Lejeune – « Valeurs Actuelles » – est dans de beaux draps.


Sous la coupe de « Valeurs Actuelles », un groupe de discussion a été organisé avec 7 intervenants. Des femmes se sont invitées pour dénoncer l’absence de mixité aux prix de placages au sol et coups.


INTERRUPTION FÉMININE

C’est « Valeurs Actuelles » qui organise. Il y a 7 intervenants, que des hommes (Attali, Bellamy, Duteurtre, Houellebecq, de Villiers, Le Maire et Zemmour). Une soirée entre « couillus » pour parler de la Droite politique.

Des femmes – « le collectif la Barbe » – déboulent au centre de la « piste ». Une « action » qui a fait mal. On note un poil de violence beaucoup trop gonflée à la testostérone. Plaquées au sol, chacune entourée de plusieurs hommes, elles sont « maitrisée », manu-militari. En clair, elles se font dégommer.

On ignore quelle société était engagée pour cette soirée, mais on peut dire qu’elle est très efficace. Pas très professionnelle, mais efficace !

Une vidéo publiée par « MédiaPart » a donné à cette « affaire » une résonance importante. Mais c’est « Glamour » qui a suivi toute l’action. De là s’enflamment d’autres grands titres qui reprennent le sujet ; « Les Inrocks », « HuffPost », « Télérama » et bien d’autres.

GEOFFROY LEJEUNE

Lejeune, directeur de « Valeurs Actuelles » et meneur des débats, est vu sur les images « tirer » sur la jambe d’une des féministes. Il expliquera que ce n’était pas de la violence. Il voulait passer, la jambe gênait, il a tirer dessus pour dégager le chemin – alors que la femme en question était au sol, au prise avec 3 ou 4 agents de la sécurité.

Non seulement l’action des hommes de la sécurité est discutable, mais Geoffroy Lejeune s’en est mêlé. La « victime » explique que Lejeune ne l’a pas juste « poussé » ou « tiré sur sa jambe » mais voulait aider les agents à la « dégager ».

Là où tout s’emballe, c’est que Lejeune dénonce une presse qui veut lui nuire (à lui et à la Droite). Il dit vouloir déposer des plaintes pour « diffamations ». C’est « Libération » qui en parle.

A partir du moment où ils touchent une des féministes, il est en défaut. Donner un « coup de main » aux agents n’est pas de son ressort. D’autant que, à plusieurs « baraqués » sur une femme, on a du mal à croire en la « difficulté ».

Autre fait qui nous a … supris de la part du « public », c’est les huées lorsque les féministes entrent en « piste » et les applaudissements lorsqu’elles se font dégager. Etrange, selon nous, comme comportement …


201904 LaBarbe CirqueHiver 4.