VIDEO FRANCE 
Les images d’un policier s’acharnant sur un prévenu oblige l’ouverture d’une enquête.
C’est dans les locaux tous neufs du tribunal de Paris que la scène à lieu. Elle est filmée par une caméra de surveillance qui n’est pas masquée. Les policiers savent donc parfaitement qu’ils passent dans les écrans. Pourtant, un policier en particulier se rend coupable de violences. Dans la première partie de la vidéo, on voit qu’il maitrise un homme (présenté comme un migrant qui serait en fait un « simple » voleur, selon les autorités). Rien qui déborde jusque là. C’est certes musclé, mais on peut penser que cela se justifie. Dans la deuxième partie de la vidéo, on voit le policier jeter l’homme dans une cellule pour ensuite le rouer de coups.
Cette vidéo a été envoyée à « Là-bas si j’y suis ». La vidéo est postée sous le titre : « Violences policières au nouveau tribunal de Paris ». Il semble que ce soit un membre du personnel, choqué par les faits et voyant qu’aucune sanction n’a été prise contre le policier en cause, qui a fait en sorte que la vidéo se retrouve entre les mains des responsables du site Internet.
Selon les dernières informations, la hiérarchie était parfaitement au courant des faits, qui remontent à début juin. Mais, en effet, aucune sanction contre le policier violent. On est même sûr qu’un semblant d’enquête internet aie eu lieu. C’est seulement à la suite de cette vidéo, rendue publique, que l’Inspection Générale de la Police Nationale (IGPN) a ouvert une enquête.
Publié par « Là-bas si j’y suis »..
EN VIDEO « VIDÉO : violences policières au nouveau tribunal de Paris »..
Le flic a l’air black. Le prévenu aurait eu des propos raciste que ça ne m’étonnerait qu’à moitié.
Et donc ça lui donnerait le droit de le cogner ? Soit il est flic, soit il est voyou. Un flic ça n’a pas des réactions de voyous dans le geste. Je crois avoir lu que le policier en question était stagiaire ou un truc du genre. Quoi qu’il ressorte de cette histoire, il peut changer ses perceptives professionnelles dés maintenant à mon avis.