↘ FRANCE / MELENCHON DANS L’UNITÉ FACE A L’ATTAQUE TERRORISTE …


    FRANCE    FRANCE INSOUMISE  

Jean-Luc Mélenchon marque les esprits à l’Assemblée Nationale dans un discours d’unité, loin des divisions.

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Dans l’opposition, et à l’inverse de Laurent Wauquiez et de Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon a pris le partis de se ranger aux côtés du gouvernement. Confirmant que les politiques au pouvoir on fait ce qu’il fallait.


    DÉMARCATION DE JL MELENCHON  

Alors que « Les Républicains » et le « Front National » fusillent le gouvernement Macron (limite en l’accusant directement d’être responsable de la mort des quatre victimes de Radouane Lakdim), Jean-Luc Mélenchon ne prend pas du tout cette voie. Au contraire.

Ce qui aura donné lieu à des applaudissements de la quasi totalité des politiques présents. A l’exception de tous les membres du « Front National » et une bonne partie des « Républicains ».

    ILS ONT FAIT CE QU’IL FALLAIT  

Ce qui a été souligné lors du discours de JLM à l’Assemblée Nationale, c’est le fait de ne pas vouloir se servir des attentats pour la cause politique. Il aurait pu, comme Wauquiez et Le Pen, prendre cet evenement en exemple de la faiblesse et du manque de courage du gouvernement Macron. Mais il n’a pas choisi ce chemin.

Dans son hommage à Arnaud Beltrame et les trois autres victimes de cet attentat, près de Carcassonne et à Trèbes, dans l’Aude, Jean-Luc Mélenchon n’a voulu profiter d’aucune faille pour s’engouffrer dans la polémique ; « Nous sommes certains que vous avez dans cette circonstance, fait tout ce qui était en votre pouvoir, du mieux que vous pouviez ».

    « LR » ET « FN » DANS L’ACCUSATION  

A Droite et à son extrême, il n’y a pas de pardon pour le gouvernement. Celui-ci n’aurait pas pris les mesures qui auraient pu éviter ce qui s’est produit le 23 mars dernier.

Rappelons qu’à Droite, on veut mettre les « fichés S » en prison et renvoyer ceux qui sont étrangers chez eux. Des dispositions impossibles à prendre dans un État de droit.

En France, on ne met pas en prison les gens pour quelque chose qu’ils pourraient faire, mais pour des choses qu’ils ont faites. En prenant cette voie de « mettre en prison les gens qui pourraient nuire à autrui », on peut multiplier par dix le nombre de places de prison disponibles dans le pays. Sans compter qu’il y aurait alors dans ces prisons des gens qui n’ont rien fait de répréhensible mais qui, éventuellement, pourrait passer à l’acte.


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  Publié par « JEAN-LUC MÉLENCHON »..
  EN VIDÉO    « ARNAUD BELTRAME, HÉROS DE LA CONDITION HUMAINE – Mélenchon »..

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