Il faut mettre des visages sur les noms des victimes de Nice pour comprendre que tous ces gens, c’est nous …
Nice : 14 juillet 2016, 22h30.
Sur les milliers de personnes venues pour un 14 juillet en fête à Nice, 86 personnes ont payé de leur vie la folie innommable d’un homme. Au volant d’un poids-lourd, il fonce sur les gens présents. Le but est de faire autant de victimes que possible. Au nom de qui ? De quoi ? D’une idéologie horrible, contre les libertés et les droits de chacun. Contre un mode de vie ouvert au monde, au genre, aux êtres humains.
Un nom et un visage sur « les gens ».
Lorsque l’on met des visages sur les noms, il y a un autre sens qui est donné au drame. On se rend compte que les victimes auraient pu être nous-mêmes ou nos proches. Être à cet endroit à ce moment là a été leur seule faute.