🔻 LA FOLLE HISTOIRE DE « DIKKENEK » …


Olivier Van Hoofstadt, réalisateur et scénariste belge.


Les « histoires » du film culte « Dikkenek ». Olivier Van Hoofstadt sur « Konbini » pour nous en raconter de belles sur la genèse, ses ratés et ses réussites !


Le site « Konbini » nous donnes l’occasion d’entrer dans l’historique du film culte « Dikkenek », expression bruxelloise qui désigne un « gros cou » (mot flamand), un vantard, une grande gueule, un ou une monsieur ou madame je-sais-tout.

Rien de neuf pour les fans, qui ont sans doute déjà tout vu et lu sur ce film (sauf les « rushs » qui sont dans le coffre-fort d’Olivier Van Hoofstadt).

Pour les autres, aussi fans mais moins que les acharnés, c’est un voile qui se lève sur la construction de ce long métrage tourné principalement à Bruxelles. Film d’une génération et de l’esprit « belgitude ».


Ne pas voir ce film c’est passer à côté de sa moche vie …


C’est comme un chat qui n’a jamais joué avec une pelote de laine. Comme un goût du manque qu’on avait pas avant d’y avoir goûté. Comme un Elon Musk sans ses milliards. C’est fade, sans aucune saveur.

Ce « Dikkenek » ne peut pas ne pas être vu. C’est ainsi.

On peut le regarder sobre ou bourré, en mangeant ou étalé comme une merde sur son canapé, la caboche à l’endroit ou à l’envers, seul ou en groupe, la tête sur les épaules ou dans le cul. Tout est possible. Ce qui n’est pas possible, c’est de ne pas voir ce film !

A.B