Apolline de Malherbe : Trois glissades dans son interview de Clémentine Autain.
La journaliste, remplaçante de Jean-Jacques Bourdin, a réussi à intervenir, par des affirmations ou des questions, qui n’avaient ni sens ni intérêts.
FAUT DORMIR !
A plusieurs reprises, elle nous a fait tomber de notre chaise. Visiblement, « Apo » n’était pas très en forme ce matin là.
ACTE 1 : LES NANTIS
Apolline de Malherbe soutient que personne n’a jamais dit que les enseignants et les agents de la SNCF étaient des privilégiés. C’est faux.
Lors des manifestations contre la réforme des retraites, on a souvent entendu que ces salariés étaient des privilégiés.
Les vacances à profusion pour les enseignants et la mise en retraite plus tôt pour les agents SNCF ; voilà de quoi étaient accusés ces salariés.
ACTE 2 : LES CRÈCHES
Dans les crèches, le gouvernement a fait passer un décret qui permet le recrutement de personnels non-qualifiés.
Pour Apolline de Malherbe, il vaut mieux quelqu’un de pas qualifié que personne du tout.
La journaliste a des enfants. On peine à croire qu’elle laisserait le fruit de ses entrailles à des gens qui n’ont pas de compétences dans ce domaine.
ACTE 3 : LA CUISINE
Sur la patriarcat, la journaliste demande si c’est le rôle des politiques de se mêler de ce qui se passe dans nos cuisines. Oui, répond l’Insoumise Autain.
C’est parce que les politiques (sous l’impulsion forte des féministes) se sont emparés de ces questions que la femme n’a plus la place exclusive de « bonniche » qu’elle avait hier.