Le groupe Nestlé n’est pas avare de sales histoires. Sa page « Wikipédia » en dit long … très long.
En glanant des informations sur les problèmes sanitaires, nous sommes tombés sur la page « Wiki » de Nestlé. C’est pas triste …
On s’attendait bien-sûr à trouver plusieurs controverses dans le chef de cette grande entreprise de l’agro-alimentaire. Nous ne sommes pas des « petits lapins ».
Notre surprise a été l’espace que ces affaires peuvent prendre. On ne s’attendait pas à ce que toutes les sales histoires de la marque puissent occuper la moitié de la page qui lui est consacrée sur « Wikipédia ».
LOBBYS
Pour faire passer ses « messages » et influencer les décisions, Nestlé dépenserait 1,5 millions de dollars par an aux Etats-Unis. En France, il serait question de 300.000 euros.
Des montants que l’on dit néanmoins « sous-évalués ». On sait que ce genre de groupe ne regarde pas à la dépense. Pour celle qui engrange des milliards par an, ses millions ne sont pas nos millions. Nous n’avons pas la même valeur.
Faire du lobby n’est pas illégal. Il faut le préciser. Mais les sommes dépensées laissent entendre une main mise pour favoriser des trajectoires, souvent politiques. Il est question de se mettre les bonnes personnes en poche. Et ça, Nestlé sait faire.
Bien entendu, des milliards sont en jeu. Nestlé n’est pas l’épicerie du coin. L’entreprise fait travailler des centaines de milliers de personnes à travers le monde … même si elle paye certaines populations, dans certains pays, au lance pierres.
UN MONSTRE
On parle de productions astronomiques avec un bon nombre d’actionnaires qui en veulent toujours plus (comme tous les actionnaires du reste). Faire de l’argent est au centre de ce monstre de l’agro.
Quand c’est fait en respectant les règles, ça n’a rien de moche en soi. Sauf que Nestlé s’est risqué à flirter avec les lois et les règles les plus élémentaires en terme de respect de l’humain et de la santé publique.
LES AFFAIRES
La responsabilité de Nestlé est engagée dans de nombreuses affaires. On a que l’embarras du choix. Au pif, on vous donne quelques brides de ce qu’elle a fait de plus retentissants :
Le groupe a imposé du lait en poudre au détriment de la santé dans des établissements hospitaliers et il a fait du ré-étiquetage de produits périmés en Colombie.
Parlons aussi de sa participation à la déforestation dénoncée par « Greenpeace », des contaminations bactériennes (« Buitoni », dernièrement) et de la fraude à la viande de cheval.
L’HUMAIN
En plus des affaires strictement agro-alimentaires, il faut ajouter les aspects humains et sociaux.
Amnesty International dénonce en 2016 le « travail forcé et travail des enfants » en Indonésie ou en Afrique.
Dernièrement, face à l’attaque des russes en Ukraine, Nestlé refuse de couper les ponts avec la Russie (contrairement à d’autres entreprises, françaises et américaines notamment).
L’entreprise met en avant les salariés qu’elle ne veut pas mettre au chômage. On y croit pas trop …
Si vous voulez lire tout dans le détails (et vous faire peur par la même occasion), rendez-vous sur la page « Wikipédia » de Nestlé.
Sur Youtube, nous vous conseillons une vidéo réalisée par « MoneyRadar » ; « LE DIABOLIQUE BUSINESS DE NESTLÉ ». Vous trouverez facilement d’autres vidéos du même genre sur la plate-forme.
Enculés !
Ça aurait été dommage de passer à côté de ton commentaire Trista 😉