🔻 C’EST DANGEREUX DE « DECONFINER » ?


Le monde libère ses citoyens pour une reprise des activités. Un « déconfinement » dangereux ?


Bien-sûr que c’est dangereux. On ne sait pas où on va. Pas seulement nous, mais toute la clique scientifique aussi. On a jamais « déconfiné ».


Après nous avoir demandé de confiner pour étaler la pandémie, on « déconfine » (au passage, sachez que ce mot n’existait pas avant ; il a été inventé pour l’occasion).

Vient la question de savoir si le « déconfinement » est dangereux. Bien sûr que oui. Il faudrait être sacrément gonflé pour dire le contraire.

TOUS INFECTÉS

Le risque est important pour les plus fragiles d’entre-nous qui seront exposés au virus. Protégés jusque là par le confinement, nous croiserons le Covid à un moment. C’est certain. Personne ne pourra y échapper.

POUR L’ARGENT

Si on achète toujours de l’alimentaire (et même plus qu’à l’habitude pour beaucoup d’entre nous), des secteurs entiers ne fonctionnent plus. Et pas des moindres.

Citons l’automobile, l’immobilier ou le marché de la décoration ou des sports. Des secteurs qui pèsent sur notre économie puisqu’elle n’offre plus aucune recette (pour ne parler que des pertes de l’État).

IL FAUT DES SOUS

Il est improbable que l’on puisse tenir des mois. Sans compter que, en attendant, c’est l’Etat qui met la main à la poche pour couvrir les dépenses (même s’il s’agit de notre argent) pour la police, les services dit indispensables ou le chômage.

Il faut donc sortir de cela pour ne pas sombrer, dépendant que nous sommes du bon vouloir de la machine à billets.

C’EST REPARTI

On va donc tous reprendre nos activités à partir du mois de mai. Qui plus tôt, qui plus tard, mais nous reprendrons. Comme avant la pandémie ? Non.

On évitera les contacts physiques. Fini les bisous et la poignée de mains. On se tiendra à l’écart de tout le monde et la mode sera au masque. Quand à celui qui tousse, il sera vite mis à l’écart.

Une autre socialisation s’ouvre, pour un temps. Le pire passé et les solutions trouvées, nous devrions redevenir « comme avant ». Et sur l’aspect social, il faut le souhaiter. Personne ne veut d’une totale socialisation en 2.0.