Opinion : Benjamin Griveaux tente la victimisation. La première victime c’est sa femme, ses enfants et les électeurs et partisans qui ont perdu leur temps.
C’est peut-être parce que je suis une femme. Mon opinion se forgerait autour de cet aspect physique de ma vie. J’accepte d’avoir un point de vue féminin.
La victimisation de Benjamin Griveaux me révulse. Il dit être victime, lui et sa famille, d’attaques sans nom qui ne suivent aucune règle morale. Une blague, j’imagine. Il faudrait le plaindre en plus ?
Il ne lui est pas venu à l’esprit que sa branlette en vidéo était loin de la moralité de base ? Que d’envoyer cette vidéo répugnante à une femme était une forme de tromperie envers la mère de ses enfants ? Et ce serait lui la victime ? … J’étouffe de rire … jaune.
Non, Griveaux n’est pas une victime. Il est par contre victime de sa connerie et de ses pulsions sexuelles. Un cochon ; voilà ce qu’il est. Et ce n’est pas la faute de Joachim Son-Forget qui a rélayé la vidéo. Pas plus que de celui qui a diffusé les scènes, Piotr Andreïevitch Pavlenski. Si Griveaux est un cochon, ce n’est pas la faute des autres.
Prude et coincée, moi ? Peut-être bien. Si envoyer une vidéo à caractère sexuelle à une femme alors qu’on est père de famille ne choque que moi, soit, je confirme et signe mon manque d’ouverture d’esprit.
Nadya Farez / Rédactrice ALP.ORG
Sans pitié LOL