Une passante à une journaliste de « BFM Tv » ; « je n’aime pas votre ton ».
En intervention extérieure en direct sur les problèmes des transports en commun, une journaliste de « BFM », Amélie Rosique, se fait critiquer sur le ton qu’elle utilise pour en parler. En fait, il y aurait eu incompréhension.
Intervention en direct.
Amélie Rosique a tendu le micro à une passante à qui l’angle utilisé pour parler des perturbations des transports ne plaisait pas du tout. Elle l’a dit sans violence ou vulgarité.
La vidéo de cette séquence a été très commentée sur les réseaux sociaux. Les Internautes soulignent en même temps le courage de cette dame et la censure de « BFM » pour l’empêcher de parler.
Libération a fait le boulot.
« Libération » à fait son « CheckNews » sur un sujet signé Robin Andraca ; « Qu’est ce qui a valu à une journaliste de BFM TV d’être interpellée par une passante lui reprochant son «ton» ? ».
La passante voulait insister sur le fait que tout le monde était calme alors qu’elle pensait que la journaliste disait l’inverse. Sauf que ce n’était pas le cas. En regardant la séquence en entier (ce qu’a fait le journaliste de « Libé »), il n’y avait aucune intention de dire autre chose que la réalité.
Question de timing.
Pour les Internautes, il y a eu un sentiment de censure parce que la passante parlait toujours lorsque la journaliste a rendu l’antenne. Selon Andraca, c’était simplement une question de « timing ». Elle devait rendre l’antenne pour la poursuite des programmes de la chaîne.
« La vidéo n’existe plus » : YOUTUBE
Censure !