Des images de vidéosurveillances montrent l’un des terroristes avant l’explosion.
On se demande parfois à quoi rassemblent les terroristes quelques secondes avant de se faire exploser. En fait, il ne ressemble à rien d’autre que des gens déterminés. Comme « bloqués » sur leur macabre but.
Dernier bilan (toujours provisoire) de 359 morts. « L’ETI » – aussi appelé « Équipe de Tarrés Indéfinissables » – a revendiqué les attaques.
Avec plus de 350 morts et 500 blessés au Sri Lanka – « La Libre Belgique » -, c’est l’acte terroriste le plus meurtrier depuis des années dans la région.
En utilisant des bombes – humaines entre autres -, il y a eu plusieurs détonations coordonnées. Églises catholiques et hôtels de luxes ont été les principales cibles.
L’État Terroriste Islamique a revendiqué les attaques. On admettant que l’on puisse donner un semblant de crédit à ces distributeurs de morts, c’est un acte odieux de plus à mettre à leur actif.
Informations mal exploitées, selon un média américain – « CNN » – pour qui les infos étaient pourtant « précises ».
Selon « CNN », les services de renseignements indiens avaient des informations qui présageaient des multiples attaques. Elles trouveraient leurs sources dans les déclarations d’un membre de « l’ETI » incarcéré.
Même si, toujours selon le média américain, les informations étaient précises, il semble que les autorités indiennes n’ont pas réussi à cibler clairement les endroits et le moment des attaques. C’est ce qui aurait pêché dans les précautions prises par les services de sécurité du pays.
Un terroriste, sac à bombe sur le dos, plutôt calme qui croise femmes et enfants sans être ému de quelconque façon.
Ce qui peut surprendre dans les vidéos de surveillances, qui ont filmé un « kamikaze » quelques secondes avant de se faire exploser, c’est le calme et la détermination.
Dans l’une de ces vidéos – « AFP », on voit un homme, sac sur le dos, aller droit au but en marchant d’un pas sûr que rient ne semblait pouvoir dévier de sa trajectoire.
Il croise des familles et des enfants sans vraiment les voir. Il marche droit devant. Il sait ce qu’il s’apprête à faire. Sans doute persuadé du bien fondé de sa macabre démarche, les images, presque banales d’un homme qui se fraie un chemin parmi la population, irise le poil tant elles montrent le froideur de la situation.
Les enculés ont encore frappé …