🔻 FRANCE / GRIVEAUX SE TROMPE ; C’EST BIEN LUI QUI ÉTAIT VISÉ …


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Dégâts au ministère : Griveaux n’a pas compris que c’est lui qui était visé.

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Benjamin Griveaux estime que « l’attaque » du ministère (portes fracassés avec un engin de chantier, voitures dégradées, vitres cassées) est une attaque des manifestants contre la République. Il se trompe. C’était une attaque totalement personnelle.

C’EST PAS MOI

Griveaux se décharge de sa responsabilité dans les propos qu’il a tenu avant la manifestation du 05 janvier.

Paroles de « gilets jaunes » : C’est bien Benjamin Griveaux qui était la cible de l’attaque de son ministère. Surement pas la République. Une fois encore, le politique ne comprend rien ou, pire, fait mine de ne pas comprendre.

Quelques heures avant les manifestations du samedi 05 janvier, Griveaux soutenait que les personnes qui se rendraient dans les rues étaient des « ultras », des « agitateurs ».

Si des « gilets jaunes » s’en sont pris à son ministère ce n’est pas le fait du hasard (encore que laisser un engin de chantier dans la rue a contribué à l’occasion qui fait le larron).

Lorsque Griveaux parle d’une attaque de la République et de la Maison France, il se décharge totalement des propos qu’il a tenu. Et c’est sans nul doute consciemment qu’il le fait. On a du mal à imaginer le contraire.

LES GILETS VOIENT ROUGE

Cette façon de faire énervent les « gilets jaunes ». La langue de bois et la bêtise politique exaspère les manifestants.

« Prendre les gens pour des cons ». On a vu et beaucoup entendu ce « slogan ». Cela se vérifie une nouvelle fois avec les déclarations du porte-parole du gouvernement.

En faisant une généralité des violences qui lui étaient destinées, il accuse les manifestants de vouloir détruire la démocratie. De la même manière, Mélenchon avait accusé la justice de bafouer la démocratie lorsque des perquisitions ont eu lieu à son domicile.

C’est une technique bien connue en politique. On oublie l’homme pour se concentrer sur le symbole. Ce qui permet de se décharger de la responsabilité qui est propre à chacun.

Quand à la presse, elle ne se mouille pas trop. Elle se borne a publier les déclarations des uns et des autres. Laissant à l’opposition politique le soin de souligner que « qui sème le vent récolte la tempête ».

ligne  Publié par « Marianne en gilet jaune »..
  EN VIDEO    « Benjamin Griveaux «C’est la forme démocratique du gouvernement qui a été attaquée» »..

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