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MEDIA - ITALIE
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Berlusconi dénonce (encore une fois) l'acharnement des médias.
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Silvio Berlusconi se place en victime des médias italiens qu'il ne contrôle pas. Il demande à la presse d'arrêter les "critiques infondées".
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Pauvre Silvio. Il est la cible de plusieurs médias italiens. Selon lui, cette situation est infondée. Il va même plus loin en parlant de "comportements criminels" de la part de la presse. Pour être honnête, on ne peut pas dire qu'il soit irréprochable. La presse en fait ses choux gras, bien-sûr, mais il faut tout de même avouer qu'il y a matière à critiquer.


Source Image : http://www.rfi.fr/

Ce n'est pas la première fois que le chef du gouvernement italien appel les médias à moins de critiques envers lui et son gouvernement. Toujours selon lui, les médias ne parlent que des ratés de la gouvernance italienne. Hors, ces mêmes médias ne font pas mentions des réussites. Et même quand ils en parlent, c'est pour ne montrer que le mauvais côté de choses.

Rappelons rapidement que Berlusconi est à la tête du groupe Mediaset. Il est aussi un poids important dans certains titres de la presse écrite. C'est peut-être pour cette raison que les journaux (plus ou moins indépendants) croient utiles de faire le contre-balancement. Puisque plusieurs journaux se montrent très, voir trop, compréhensifs avec le chef de l'État, il faut un contre-courant pour donner plusieurs versions à la population italienne. C'est ensuite aux Italiens de se faire leur propre opinion. C'est le rôle de la presse, après tout ...

Source(s) Info : afp / propulsé par acces-libre-presse.org

Il passerait plus de temps à s'occuper de ce qui se passe en Italie plutôt que de soigner son image, les Italiens s'en porteraient beaucoup mieux.

C'est toujours la zone aux ordures à Naples. Il avait pourtant promis de faire ce qu'il faut pour nettoyer tout ça. C'était même dans son programme électoral.

Un politique ne tient jamais ses promesses, voyons!