MONDE - OBAMA----------------------------------------------------------------------Obama demande un second mandat.-----------------------------------------------------------------------------------
Barak Obama a fait savoir qu'il allait se présenter pour un second mandat en tant que président des Etats-Unis, en 2012.-----------------------------------------------------------------------------------
C'est officiel. Barak Obama a lancé publiquement sa campagne pour un deuxième mandat de président. Il dit avoir besoin de plus de temps pour mener à bien les projets que lui et son équipe ont initié. Pour la présidence de novembre 2012, il demande à ses partisans de se mobiliser dès à présent pour avoir une longueur d'avance et préparer au mieux sa campagne.
S'il est élu, ce sera le second et, sans doute, dernier mandat pour Obama, la constitution américaine ne permettant pas plus de deux mandats à la suite pour un seul et même homme.
L'annonce de cette nouvelle course à la présidence n'est pas une surprise. Dès son élection en 2008, il avait immédiatement annoncé la couleur. Selon lui, sa mission devait être menée sur huit ans, au minimum. Quand à sa cote de popularité, elle est partagée mais stable depuis plusieurs semaines. Ce premier président noir des États-Unis aura tout de même réussi à faire baisser le chômage et à donner un bon coup de pied dans la pauvreté des acquis sociaux (comme l'assurance maladie). La croissance économique se porte aussi plutôt bien avec une hausse de 3,5%.
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Poser sa candidature très tôt pour récolter un maximum d'argent.
Obama ne s'en cache pas. Il va avoir besoin de beaucoup de fonds pour pouvoir mener à bien une seconde campagne. C'est la raison pour laquelle il a annoncé sa candidature un an et demi avant les présidentielles. Plus tôt sa campagne est lancée, plus il pourra espérer récolter une belle somme d'argent. Selon la presse américaine, le président aurait dans la tête le chiffre d'un milliard de dollars.
Sur l'aspect financier d'une campagne politique, Barack Obama n'essaye pas d'en minimiser l'importance. Il faut des dollars, beaucoup de dollars. Ne pas être honnête avec cette réalité voue la course présidentielle à l'échec. Si les noms de ses rivaux sont encore assez flous, ces derniers seront armés, comme lui, de nombreux billets verts.
Source(s) Info : afp / propulsé par acces-libre-presse.org
