TECHNOLOGIE - ARMEE----------------------------------------------------------------------L'armée s'intéresse de près aux smartphones et aux applications possibles.-----------------------------------------------------------------------------------
Faire la guerre avec un smartphone entre les mains, c'est déjà possible grâce à plusieurs applications conçues pour l'armée et la gestion d'une bataille.-----------------------------------------------------------------------------------
Les nouvelles technologies intéressent l'armée. Grâce à l'évolution des techniques, il est possible d'utiliser un simple smartphone pour gérer une guerre en restant en contact avec les autres soldats et les généraux qui commandent les actions. L'interface se confondrait presque avec un jeu vidéo bas de gamme. A la base de ces applications, on trouve "Google Earth". Grâce à lui, les hommes sur place peuvent suivre en temps réel comment se déroulent les opérations.
Source Image : http://www.tactiphone.com/
Des tests sont en cours pour permettre aux soldats de "détruire" une cible en touchant l'écran tactile.
On se croirait dans un "James Bond", et pourtant nous parlons bien ici d'une situation réelle sur laquelle des chercheurs travaillent jours et nuits. Faire la guerre en cliquant sur un écran ... le top. Mais comment ?
Il faudra toujours des hommes avec une arme au poing pour éliminer une cible, des avions pour bombarder un bâtiment, ... mais pour le commandement, tout serait simplifié avec un simple point sur une carte qui détermine une cible. Plus fort encore, grâce aux drones ("aéronefs sans pilote humain à bord, qui emportent une charge utile, destinées à des missions de type surveillance, de renseignement ou de combat ..." ; Wikipédia) il serait bientôt possible pour un soldat de mettre un terme à la vie d'une cible en donnant les coordonnées avec son smartphone, sans même avoir besoin d'une arme. Le stylet que nous connaissons tous pour pointer plus précisément sur l'écran tactile suffirait à éliminer quelqu'un.
Source(s) Info : courrier international / propulsé par acces-libre-presse.org