NEWS • DIVERS • POLICE ---------------------------------------------------------------------- La police française diffuse la photo d'un cadavre sur son compte Twitter pour pouvoir l'identifier. ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- La police belge avait déjà fait la même chose en septembre 2013. Les internautes belges avaient alors fort critiqué cette méthode. ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Pour la police, c'est une dernière tentative pour résoudre une affaire qu'elle a sur les bras depuis des mois. C'est à Strasbourg que le cadavre de cet homme a été retrouvé par les policiers. Ayant épuisé toutes les possibilités pour identifier la victime, la police, avec l'accord du procureur, a diffusé la photo du cadavre sur son compte Twitter. Une façon de faire peu commune qui semble choquer plus d'un Internaute. Cet appel n'ayant pas du tout porté ses fruits et voyant les réactions négatives qui se profilaient, la police a décidé d'enlever la photo de son compte.
La police belge avait fait la même chose il y a quelques mois.
C'est sur Facebook, cette fois, que la police belge avait publié la photo d'une femme décédée qui n'avait pas pu être identifiée. Déjà, les critiques étaient vives. Certains Internautes avaient fait savoir qu'ils ne voulaient pas de ce genre d'images sur leur réseaux social. Aussi parce qu'il y a des enfants sur ces réseaux, mais pas seulement. Les membres belges de Facebook ne veulent tout simplement pas être confrontés à ces images de cadavres. D'autres, plus indulgents, se disaient satisfaits de voir que la police utilisait les nouveaux réseaux de communication pour résoudre des affaires.
Depuis cette polémique, la police belge dit ne pas avoir banni cette alternative pour diffuser des appels mais, désormais, un message clair sera écrit comme un avertissement pour les personnes sensibles qui pourraient être choqués par ces images.
On voit bien pire à la télévision ...
Si la police comprend que certaines personnes soient choquées par l'initiative, il faut avouer que nous voyons bien pire à la télévision. Les journaux télévisés peuvent montrer des centaines de morts en quelques minutes. Le problème est sans aucun doute le support. Même si on peut voir des horreurs aussi sur Internet, le fait que ces images s'immiscent dans un réseau social que les membres s'approprient pose un problème aux Internautes.
Source(s) Info : le parisien/ propulsé par acces-libre-presse.org
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