NEWS • DIVERS • JEUX OLYMPIQUES ----------------------------------------------------- La polémique autour du chinois Sun Yang, nageur spécialiste des épreuves de nage libre sur longue distance. ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ Selon le français Camille Lacourt, le sportif chinois, contrôlé positif au test anti-dopage de 2014, "pisse violet !". De quoi avoir des doutes sur la virginité de l’athlète au sujet des produits dopants. -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Les Jeux Olympiques ont toujours leurs lots de rumeurs sur le dopage. L'une des cibles de cette édition est le chinois Sun Yang. Bien qu'il n'y ait aucune confirmation officielle, des doutes raisonnables sont permis. Le sportif asiatique en nage libre de 24 ans a déjà fait l'objet d'une éviction il y a deux ans. De plus, un concurrent français tire à boulets rouges sur le chinois. Ce qui a pour effet d'attirer l'attention des médias.
Selon Camille Lacourt, le chinois "pisse violet". Étrange tout de même pour un sportif qui se dit plus blanc que blanc. Sur les ondes de la radio française, Lacourt, visiblement énervé, déclare ; "Quand je vois le podium du 200 m nage libre, ça me donne envie de vomir ... Je suis très triste de voir mon sport évoluer de cette façon. J'ai l'impression de voir de l'athlétisme avec deux ou trois dopés dans chaque finale ..."
Comment se fait-il qu'un athlète jugé comme tricheur en ayant utilisé des produits dopants puisse encore être sélectionné pour les Jeux Olympiques ? On attend des réponses de la part des organisateurs.
L'organisation Olympique est pour le moins étrange. Le fait qu'un athlète dont le dopage a été clairement établi puisse encore participer aux Jeux est incompréhensible pour le commun des mortels. Car cela laisse penser que le dopage est permis s'il n'est pas détecté. Ça passe ou ça casse. Mais même si ca ne passe pas, rien n'empêche le tricheur de retenter sa chance. Dans ce cas, où est la sanction ? C'est la question que tout les amoureux du sport se pose et qui pèse lourd dans la crédibilité des responsables des Jeux.
Dans le cas du jeune Yang, personne ne peut affirmer à ce jour si il a de nouveau tenter d'autres produits dopants. Les doutes portent sur son passé de tricheur et les déclarations de Lacourt. C'est à la Fédération Internationale de Natation et aux organisateurs des Jeux de prendre les décisions qui s'imposent. Au mieux, il sera probablement contrôlé. Mais personne ne s'attend à une révolution au sein des JO. -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- © NADYA FAREZ / art.n° 167121 / propulsé par acces-libre-presse.org
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