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Des terroristes parmi les réfugiés ; une manipulation des djihadistes.
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Les terroristes n'ont pas besoin de se faire passer pour des réfugiés pour entrer en Europe. Le seul but est l'amalgame attendue en occident.
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Lors des derniers attentats à Paris, les autorités ont retrouvé un passeport syrien près d'un des kamikazes qui s'est fait exploser aux abord du stade de France. De plus, il a été vérifié que deux des assaillants sont passés par la Grèce en tant que réfugiés pour entrer en Europe.
Hors, tous les spécialistes s'accordent sur un fait important ; il est nettement plus difficile, plus long et plus dangereux de se faire passer pour un réfugié.
Plus difficile parce que des contrôles d'identités sont réalisés par les autorités pour chaque migrant. Plus long parce que le chemin est conséquent pour arriver à mettre les pieds en Europe. Dangereux parce que, comme nous avons pu le voir, les pertes sont nombreuses pour les migrants qui tentent une traversée au péril de leur vie. Bref, les terroristes n'ont pas le moindre intérêt pratique à utiliser cette façon de faire.
Il est beaucoup plus simple et rapide d'avoir de faux documents (ou des documents vrais mais qui ne correspondent pas à l'identité du porteur). Souvent volés ou pris sur la dépouille d'un mort, il reste au porteur à faire en sorte de ressembler à la photo du passeport. Certains imaginent que c'est ainsi que l'État Terroriste Islamique décide des personnes qui partent pour l'étranger, à mesure que des passeports sont récupérés. Au passage des contrôles, les agents n'y voient que du feu. Ainsi, entrer en Europe est aussi simple que de passer le portique de sécurité d'une grande surface avec un objet volé qui n'a pas de système de détection.
C'est exactement pour cette raison que plusieurs experts en sécurité font savoir que les contrôles aux frontières de l'espace Schengen ne résoudront rien. Seuls les incompétents seront arrêtés. Ceux qui sont un minimum organisés passeront sans problèmes.
Le constat serait donc de se dire que les migrants ne peuvent pas être accusés si on ne veut pas tomber dans le piège de l'ETI.
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Rappelons-nous ceci : Le fait d'avoir retrouver un passeport syrien aux côtés d'un kamikaze n'est pas le fruit de circonstances miraculeuses. L'ETI veut véhiculer cette idée des réfugiés terroristes. Aller dans ce sens, c'est tomber dans leur piège. Ils ont toutefois oublié une donnée essentielle ; nous ne sommes pas des idiots !
Si il y a un intérêt pour les terroristes de faire croire à une telle chose, c'est qu'ils ont quelque chose a y gagner. Plusieurs observateurs pensent que chaque migrant qui trouve asile dans un autre pays est potentiellement un bras armé de moins pour l'ETI. En prenant de force des villages en Syrie, le groupe terroriste peut trouver de nouvelles recrues, de grès ou de force. Prendre un pays où la population est inexistante revient à ne pas pouvoir faire grossir ses troupes et ne pas pouvoir imposer son autorité sur des populations soumises.
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Auteur : MARCO PETRUCCI - propulsé par acces-libre-presse.org
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