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Bombardements en Irak : avec l'accord de Barrack Obama, non pas pour attaquer mais pour se défendre.
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Pour défendre du personnel américain installé en Irak, Obama a autorisé des frappes aériennes. Ce n'était plus arrivé depuis 2011.
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Pas de demi-mesures pour défendre les hommes et les intérêts américains qui sont en places en Irak. Sous la menace d'attaques par l'État islamique, qui utilisent de l'artillerie pour avancer dans le pays, le président US n'a pas tergiversé très longtemps avant de prendre cette décision. Des avions de l'armée américaine ont pris pour cible des postes mobiles qui auraient pu mettre en péril des installations US basées dans la région. Pas question pour Barrack Obama de prendre le moindre risque. Il a ainsi autorisé deux avions bombardiers à canarder une zone prise par l'État islamique.
Le bilan n'est pas connu. Il semble néanmoins que les avions n'ont pas manqué leurs cibles. Sans doute plus de détails dans les prochaines heures.
Obama protège ses hommes ... mais aussi les chrétiens d'Irak. C'est la deuxième version parue dans les médias.
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Dans un premier temps, l'unique raison qui a été publiée dans la presse était bien la protection d'installation US sur le sol irakien. Plus tard, il était aussi question de protéger des hommes et femmes de confessions catholiques dans une région où se trouvent des américains. Il n'est pas impossible que ce soit les deux raisons combinées qui ont poussé Obama à prendre cette lourde décision.
Il est a rappeler qu'il n'y a plus eu de bombardements par les américains en Irak depuis le retrait du gros des troupes de l'armée, en 2011. Pour autant, le président américain ne veut pas donner le moindre signe d'une nouvelle guerre d'Irak. Le gouvernement américain a bien précisé qu'il s'agissait ici d'un bombardement de "défense". Il n'est aucunement question de faire un "Irak 3" sous la présidence d'Obama.
Dans le même temps, on apprend que cette frappe peut ne pas être un acte isolé et ponctuel. Les américains se disent près à renouveler des bombardements si cela est jugé nécessaire par le haut commandement des USA et son président, Barrack Obama, sans qui une frappe de ce type n'est pas possible sans qu'il aie donné au préalable son accord.
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Source(s) Info : dh.net / propulsé par acces-libre-presse.org
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