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Vague de suicides dans les milieux financiers. L'inquiétude s'installe avec six suicides en quelques jours.
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Les traders tombent comme des mouches, sauf qu'ils ne savent malheureusement pas voler. Les investisseurs se posent des questions.
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C'est l'hécatombe dans les milieux financiers. Au compteur ; six suicides de hauts responsables en l'espace de quelques jours. Pour la plupart, les employés ont sauté de la fenêtre de leur bureau. L'un d'entre eux a trouvé plus original de se suicider avec un pistolet à clous.
Dans les banques, on s'inquiète. Cette série de suicides peut être les prémisses d'une catastrophe financière. La plupart des banques n'ont pas oublié la vague des 11 suicides qui ont précédé le "Krach" de la crise de 1929. Du coup, les chiffres s'affolent. Les investisseurs et les gestionnaires de porte-feuilles se posent de sérieuses questions. Ils cherchent à savoir d'où pourrait bien venir un nouveau "Krash" et sont plus timides pour investir.
Certaines banques envoient des notes internes pour inciter les traders à prendre du repos.
Pas folles les banques, elles sentent que quelque chose ne tourne pas rond. Bosser 16 heures par jour et être sous pression en permanence c'est peut-être trop. Dés lors, des notes circulent au niveau mondial pour que tous comportements suspects soient signalés au plus vite. Il est aussi demandé aux traders de prendre du repos. Pas question toutefois d'imposer un repos aux personnes qui travaillent pour ces banques. Il faut que la boîte tourne !
Dans le cadre d'une fraude mondiale des banques, certains auraient préféré la mort.
Une autre explication se profile ; celle de responsables qui se tuent pour ne pas avoir à répondre des fraudes devant la justice. Comme le souligne le "Financial Post", plusieurs banquent ont faussé les taux d'intérêts depuis 2005 pour cacher leur mauvaise santé financière. Depuis plusieurs mois, les sanctions tombent. Des milliers d'euros sont réclamés par la justice et les peines de prisons sont lourdes. Une raison qui expliquerait en effet pourquoi ce sont surtout des responsables de secteurs qui se donnent la mort. Mais celle-ci peut aussi servir d'excuse rassurante pour les financiers mondiaux.
Source(s) Info : humanité / propulsé par acces-libre-presse.org
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