Inscrit le: 29 Juil 2010, 19:53 Messages: 465
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NEWS • MONDE • TUNISIE----------------------------------------------------------------- Béji Caïd Essebsi se doutait qu'une attaque allait avoir lieu en Tunisie.-----------------------------------------------------------------Le président tunisien dit que, lui-même et les autorités, savaient qu'une attaque allait avoir lieu dans la région.--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------La Tunisie se réveille avec la gueule de bois. Après l'attaque à l'arme automatique dans un musée, le pays réalise que personne n'est à l'abri d'un tel acte. Le dernier bilan fait état de 22 morts, dont la grande majorité étaient des touristes.
Quand à la revendication de l'attaque, elle reste floue. On sait que l'État Terroriste Islamique affirme être à la base de l'organisation des meurtres. Mais rien ne le prouve. Les assaillants ont très bien pu agir seuls, ou avec une équipe limitée et non organisée. On sait par contre que ce n'est pas le musée qui était visé dans un premier temps, mais bien un bâtiment voisin qui abritait de nombreux politiques tunisiens. On peut donc exclure ce qui avait été dit dans un premier temps, à savoir une attaque qui visait les touristes étrangers.
Source Image : http://www.lesoir.be
Il y avait de sérieux doutes sur une éventuelle attaque en Tunisie. Personne ne savait où et quand elle allait avoir lieu. -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Le président tunisien, Béji Caïd Essebsi, savait qu'une attentat planait sur son pays. Il ne faisait aucun doute que des terroristes allaient faire payer à la Tunisie ses positions contre le terrorisme. Mais même avec cette certitude, il était impossible pour les autorités de savoir où et quand l'attaque allait avoir lieu. C'est toute la difficulté à laquelle tous les pays sont confrontés.
Le président tunisien avoue ainsi son impuissance face aux attaques. Inutile de dire que c'est le cas pour tous les pays qui affichent clairement leur lutte contre toutes les formes de terrorisme. A cette différence près que le chef d'État tunisien a le courage de le dire. Pour autant, il affirme mettre tout en œuvre pour qu'un tel acte ne se reproduise plus. Hélas, personne ne peut affirmer qu'il est à l'abri d'une attaque. C'est la force des terroristes ; ils sont les seuls à savoir où et quand ils vont frapper. ----------------------------------------------------------------- Auteur : Marco Petrucci / Source(s) Info : afp / propulsé par acces-libre-presse.org
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