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Police : Les femmes réusinent mieux les tests mais restent peu nombreuses.
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Elles écrivent mieux, s'expriment mieux, ont plus de culture et sont plus intuitives que les hommes. Pourtant, elles sont toujours très minoritaires.
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On sait que les femmes ont des compétences que les hommes ont moins. Dans les tests qui impliquent les aspirants policiers, on remarque que les femmes ont un taux de réussite plus important. Selon , nous serions à 72% de réussite chez les femmes et moins de 6O% chez les hommes. Une différence qui s'explique par une assiduité plus importante chez les femmes.
Il est évident que le physique est à l'avantage des hommes. Heureusement qu'il y a les muscles ! A quoi serviraient les hommes sinon ?
C'est très caricaturale mais il est un fait que si les femmes ont l'avantage du cerveau et de la culture, les hommes ont l'avantage des muscles. Car dans les tests physiques, ce sont bien les hommes qui sont au dessus du lot.
Dans la police, c'est nul doute ce mélange qui est intéressant. Les femmes apportent surtout une souplesse et, selon toute vraisemblance donc, une certaine culture et une finesse que les hommes maitrisent moins.
Malgré des facultés indéniables, les femmes restent très minoritaire. Moins de deux policiers sur dix sont des femmes.
En Belgique, avant la police fédérale et unique que l'on connait aujourd'hui, les femmes ont fait leur entrée dans la police au cours des années 60. Bien plus tard, début des années 80, elles ont pu intégrés les forces de la gendarmerie. A ce jour, les femmes restent néanmoins encore très minoritaires. Elles ne représentent pas plus de 15% de l'ensemble des corps de police.
Il est clair que la parité n'est pas à l'ordre du jour pour l'État belge et ses services de police. Tout de même, la Belgique pourrait faire l'effort de doubler son effectif féminin actuel pour passer à 30%. Ce serait le minimum compte tenu de la meilleure réussite des femmes. L'appel est lancé ...
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