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NEWS • BELGIQUE • ÉTAT TERRORISTE ISLAMIQUE
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Les autorités belges admettent le départ de deux jeunes par semaine vers la Syrie ou l'Irak.
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S'il y a un désaccord sur les chiffres de façon globale, tout le monde semble s'aligner sur ce chiffre moyen des départs.
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Selon l'agence de presse "Belga", rapporté dans la presse écrite belge comme dans le quotidien , deux belges partiraient chaque semaine en direction de la Syrie ou de l'Irak. En moyenne, ces apprentis soldats seraient de jeunes adultes de 25 ans.
Si les autorités admettent ces chiffres, ils avouent du même coup leur impuissance à empêcher ces belges de quitter le pays pour faire la guerre. Malgré les surveillances multiples et les contrôles aux aéroports, la police belge n'arrive pas à mettre un terme à la vague de jeunes qui se font endoctriner souvent via Internet.
Dans le monde, pas moins de 25.000 personnes auraient quitté leur pays pour le Syrie ou l'Irak. Des estimations que personne ne semble critiquer.
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La Belgique est loin d'être une exception. Tous les pays sont logés à la même enseigne. Les derniers chiffres publiés dans font état de 25.000 personnes qui ont quitter leur pays pour prendre les armes. Leur but, faire le Djihad. En d'autres termes, se lancer dans une lutte au nom de la religion ().
Plusieurs observateurs sont néanmoins d'accord pour affirmer que c'est le fait de vouloir exister via un but commun qui séduit les jeunes. Ils veulent vivre autre chose, ailleurs, en groupe et pour une cause qu'on leur fait croire juste. Ce serait le résultat du manque de perspective d'avenir que l'on donne à nos jeunes. Si c'est effectivement le cas, et vu la conjoncture actuelle qui ne risque pas de s'arranger de si tôt, le problème est malheureusement insurmontable.
L'État Terroriste Islamique semble avoir bien compris la déroute de tous ces jeunes. Ils en jouent et en profitent à leur fin. Que la cause soit religieuse ou aventureuse, l'ETI offre à ces jeunes gens une chance de faire quelque chose de grand dans leur vie. C'est du moins ce qu'ils arrivent à leur faire croire.
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Auteur : Marco Petrucci / propulsé par acces-libre-presse.org
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