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Les belges en ont assez de rouler au ralentis pour des travaux sur les routes.
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Les excès de vitesse en "zone de travaux" ont augmenté de plus de 40%. La police demande aux belges de se reprendre.
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Trop c'est trop. Les automobilistes belges en ont juste là de tous ces travaux sur les routes. Dans le meilleur des cas, les belges doivent s'accommoder de ralentissements, quand ce n'est pas le point mort lorsque les bandes rétrécissent ! Alors, quand c'est plus dégagé, les voitures filent comme l'éclair. Pour rattraper le temps perdus ou par rage de ces ralentissements, les automobilistes appuient sur l'accélérateur sans tenir compte des panneaux qui les incitent à garder une vitesse raisonnable.
La police constate donc une augmentation des limitations de vitesse bafouées dans des zones en travaux. Selon elle, les chiffres montrent que les belges sont 40% de plus à ne pas respecter ces limitations. Ce qui peut être dangereux pour eux-mêmes mais aussi pour les personnes qui travaillent dans ces chantiers. C'est ainsi que les radars mobiles et fixes prennent des centaines de "photos" par jour et que les amendes fusent. Quelques retraits de permis sont aussi de mises lorsque l'excès est trop important.
Les travaux sur les routes ? C'est jamais le bon moment ! Une réorganisation serait la bienvenue pour tous.
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Tous les étrangers vous le dirons ; les travaux sur les routes belges c'est une catastrophe. Non seulement par le nombre de zones concernées simultanément, mais aussi par la durée des chantiers. D'autant plus que toutes ces zones ont mauvaise réputation. Il n'est pas rare de voir des routes en travaux sur plusieurs kilomètres avec, en tout et pour tout, trois ouvriers qui y travaillent. Les automobilistes pensent alors automatiquement qu'on se moque d'eux et qu'on ne tient pas compte de l'aspect mobilité dans l'organisation des travaux.
On se pose alors une question toute bête ; n'est-il pas possible de mettre en chantier moins de routes en même temps et de concentrer plus de travailleurs sur ces chantiers ? Ainsi, non seulement il y aura moins de travaux mais, en plus, ceux-ci iraient beaucoup plus vite. Une idée à creuser !
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Auteur : Marco Petrucci / Source(s) Info : dh.net, belga / propulsé par acces-libre-presse.org
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