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La Belgique recherche des faux taximen violeurs dans la région de Bruxelles.
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Il y aurait déjà plus de 20 victimes de viol. Toutes se sont fait agressées par un ou plusieurs faux taximen. Le Belgique lance un avis de recherche national.
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Le procédé est toujours le même : Une jeune femme (souvent une étudiante) rentre de soirée après avoir un peu trop bu. Un taxi s'arrête et lui propose de la raccompagner, sans qu'elle aie appelé une compagnie de taxi. Sur la route, le faux taximen s'arrête aux alentours du bois de la Cambre (parc public situé à Bruxelles). C'est à cet endroit qu'il viole sa victime, dans la voiture. Il reconduit ensuite sa passagère dans les environs de son domicile et lui demande même parfois de payer la course !
La presse belge sur le vif de cette affaire.
La presse belge précise dans ses articles que les violeurs seraient donc plusieurs, se basant sur les témoignages des victimes. Tous se font passer pour des faux taximen et n'utilisent aucune arme. Leur force et le fait que la victime aie bu de l'alcool semble suffire. Il est dit aussi que les violeurs n'utilisent pas de préservatifs.
La presse travail main dans la main avec les autorités pour faire passer tous les messages et les avis de recherches demandés. Par ce biais, la police demande à toutes les femmes qui ont été victimes de ces faux taximen de se faire connaitre. Car s'il y a pour l'instant un peu plus de 20 dossiers ouverts, il y a fort à parier que plusieurs victimes n'ont pas porter plainte. Hors, il est utile pour les enquêteurs d'avoir le plus de témoignages possibles pour arrêter ces violeurs en série. La police demande aussi aux vrais taximen d'ouvrir l'œil sur une voiture de taxi qui roulerait dans la capitale et qui pourrait leur sembler louche.
Par ailleurs, les autorités belges conseille de toujours appeler par téléphone une compagnie de taxi et vérifier que c'est bien un véhicule de cette compagnie qui se présente.
Une rumeur lancée en décembre 2013 sur le réseaux sociaux et étouffée par la police.
Il était déjà question de cette affaire il y a quelques mois sur les réseaux sociaux. La police belge, au courant des plaintes à l'époque, avait fait en sorte d'étouffer cette rumeur pour ne pas entraver l'enquête qu'elle menait déjà. Aujourd'hui, n'ayant pas d'autres choix et sans avoir obtenu de résultats dans leur enquête, les autorités comptent sur la population pour collaborer afin de trouver les auteurs des viols.
Source(s) Info : dh, la libre / propulsé par acces-libre-presse.org
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