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Un belge sur quatre prend le volant alors qu'il a bu trop d'alcool.
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Ils sont 25% à dire que, malgré qu'ils soient conscients d'être au dessus de la dose d'alcoolémie maximum autorisée, ils prennent quand même la route.
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Mauvais élève le belge? En tout cas, un élève gravement atteint du syndrome de "je suis capable de conduire ...". Pas moins d'un belge sur quatre avoue prendre sa voiture alors qu'il est au dessus de ce qui est autorisé comme alcool dans le sang. Le belge pense être capable de conduire parfaitement bien et sans être un danger, ni pour lui, ni pour les autres. Pour faire court, ce belge sur quatre pense que tant qu'il arrive à marcher droit, il est en bonne condition pour prendre le volant. Seulement, voilà, ces 25% des belges sont des imbéciles.
Réflexes et rapidité fortement diminuées avec de l'alcool dans le bide.
Si tous les conducteurs ont entendus au moins une fois cet argument contre l'alcool au volant, il est peut-être utile de revenir dessus :
Quelque soit le taux d'alcool dans le sang du conducteur, et même s'il ne ressent pas l'effet physique, son corps, lui, est bel et bien réactif à l'alcool qu'il a bu. L'effet vicieux le plus dangereux est le manque de réflexes en cas de danger imminent. Le cerveau met plus de temps pour envoyer l'information et la réaction est moins rapide. A 100km/h, ces quelques petites secondes de retard peuvent faire parcourir des dizaines de mètres en plus au véhicule avant que le conducteur appuie sur la pédale de frein. Le conducteur (belge en l'occurrence) a donc plus de risque de tamponner par exemple la voiture devant lui, de tuer le mioche de 7 mois qui est sur le siège passager et, qui sait, tuer aussi sa mère d'un coup du lapin si le conducteur est dans un jour de chance qui lui permet de faire d'une connerie deux morts ...
Source(s) Info : dh.net / propulsé par acces-libre-presse.org
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