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Couper le zizi d'un élève de 5 ans pour le jeter dans les toilettes : une menace originale qui envoie devant les tribunaux.
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L'institutrice s'est retrouvée au tribunal pour "attentat à la pudeur". C'est ce qu'on lui reproche après les menaces faites à l'élève.
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A 58 ans, l'institutrice ne pensait sans doute pas devoir répondre de ses menaces pour calmer un élève de maternelle un peu trop turbulent. Pour remettre une certaine sérénité dans sa classe, elle a menacé de couper le zizi du gamin et de le jeter dans les toilettes de l'établissement. Visiblement traumatisé, l'élève s'est plaint des menaces et la "maitresse" s'est retrouvée devant le tribunal pour s'expliquer.

Une éducation d'un autre temps pour des enfants d'aujourd'hui.

Le tribunal qui a été chargé de statuer sur cette affaire semble avoir compris que l'institutrice avait proféré ces menaces pour calmer l'enfant. La justice ne poursuivra donc pas cette dame de 58 ans pour "attentat à la pudeur" comme annoncé dans la plaidoirie de l'accusation. En outre, elle était accusée de donner des fessées lorsque les élèves de sa classe ne respectaient pas l'ordre. Pour ce fait, le tribunal dit ne pas avoir assez d'éléments et de preuves pour accuser l'institutrice. En conclusion, la justice demande que cette affaire soit classée sans suite.

L'institutrice pourra donc reprendre le chemin de l'école, avec une certaine appréhension. Cette mésaventure a du lui rappeler qu'on ne peut plus, aujourd'hui, faire de l'éducation comme "avant". Quand à savoir si c'était mieux "avant", c'est à chacun de juger.

Source(s) Info : dh.net / propulsé par acces-libre-presse.org

La vrai question qu'il faut se poser c'est de savoir qui est le crétin qui a jugé bon de porter cette affaire devant les tribunaux!

Il s'est passé exactement la même chose en France en 2009. J'ai retrouvé l'article ici : http://www.lepoint.fr/actualites-societ ... 0/0/342355
La justice l'avait condamné à 500 euros d'amende.

En ce qui me concerne, je pense que cette histoire n'aurait pas du sortir de l'établissement scolaire et que c'est une affaire qu'il faut régler en interne sans encombrer la justice avec ce genre de bêtises.